— CECI EST LE REPORT DE L’ARPENTAGE INITIALEMENT PRÉVU LE LUNDI 08.02 —
Lecture collective autour d’un ouvrage, également appelé arpentage
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INSCRIPTION à orga.fep@gmail.com
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INSCRIPTION à orga.fep@gmail.com
// Entrée à prix libre dans la limite des places disponibles //
L’adresse exacte vous sera transmise par retour de mail
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Venez masqué-es !
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Venez masqué-es !
Les arpentages de l’Université Populaire de Bordeaux reprennent de l’activité !
Nous espérons pouvoir nous retrouver en présentiel, avec une jauge très réduite, pour profiter d’un moment de partage réel. Nous vous communiquerons l’adresse exacte par retour de mail. Contactez nous pour toute question !
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Au programme le lundi 8 février, lecture collective et échanges autour de l’ouvrage Féminisme islamiques, de Zahra Ali.
L’islam est une cible privilégiée des racismes et fascismes d’aujourd’hui. Les personnes musulmanes ont particulièrement subi récemment des discours islamophobes qui prétendaient défendre la laïcité. Nous avons donc eu envie de se renseigner, de parler de ce qu’est vraiment l’islam, de casser ce qui devient un tabou. Dans cet ouvrage, Zahra Ali interroge les perceptions de l’islam et du patriarcat et les usages du féminisme et de la laïcité dans les pays occidentaux. Et ça nous intéresse !
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Le livre :
« En tant que musulmane pratiquante et féministe convaincue, j’aimerais que tous ceux qui nient la possibilité de mon existence commencent tout d’abord par se demander pourquoi penser que « l’islam est une religion patriarcale » leur paraît si évident ? D’où leur vient cette certitude selon laquelle l’islam – plus que toute autre religion – serait par définition inégalitaire et oppressif à l’égard des femmes ? »1 À partir de cette position de féministe musulmane, souvent considérée comme porteuse de contradictions, Zahra Ali interroge les perceptions de l’islam et du patriarcat et les usages du féminisme et de la laïcité dans les pays occidentaux.
Mais c’est quoi au fait un arpentage ?
Il s’agit d’une technique de lecture collective et subjective d’un ouvrage qu’on aurait du mal à lire seul-es. Un ouvrage est déchiré en autant de partie que de lecteurices. Chaque personne présente lit un extrait et en fait par la suite une restitution subjective. Cela permet de désacraliser le savoir et de s’approprier des écrits parfois techniques et peu accessibles tout en les liant avec un vécu, des expériences.
Nous espérons pouvoir nous retrouver en présentiel, avec une jauge très réduite, pour profiter d’un moment de partage réel. Nous vous communiquerons l’adresse exacte par retour de mail. Contactez nous pour toute question !
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Au programme le lundi 8 février, lecture collective et échanges autour de l’ouvrage Féminisme islamiques, de Zahra Ali.
L’islam est une cible privilégiée des racismes et fascismes d’aujourd’hui. Les personnes musulmanes ont particulièrement subi récemment des discours islamophobes qui prétendaient défendre la laïcité. Nous avons donc eu envie de se renseigner, de parler de ce qu’est vraiment l’islam, de casser ce qui devient un tabou. Dans cet ouvrage, Zahra Ali interroge les perceptions de l’islam et du patriarcat et les usages du féminisme et de la laïcité dans les pays occidentaux. Et ça nous intéresse !
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Le livre :
« En tant que musulmane pratiquante et féministe convaincue, j’aimerais que tous ceux qui nient la possibilité de mon existence commencent tout d’abord par se demander pourquoi penser que « l’islam est une religion patriarcale » leur paraît si évident ? D’où leur vient cette certitude selon laquelle l’islam – plus que toute autre religion – serait par définition inégalitaire et oppressif à l’égard des femmes ? »1 À partir de cette position de féministe musulmane, souvent considérée comme porteuse de contradictions, Zahra Ali interroge les perceptions de l’islam et du patriarcat et les usages du féminisme et de la laïcité dans les pays occidentaux.
Mais c’est quoi au fait un arpentage ?
Il s’agit d’une technique de lecture collective et subjective d’un ouvrage qu’on aurait du mal à lire seul-es. Un ouvrage est déchiré en autant de partie que de lecteurices. Chaque personne présente lit un extrait et en fait par la suite une restitution subjective. Cela permet de désacraliser le savoir et de s’approprier des écrits parfois techniques et peu accessibles tout en les liant avec un vécu, des expériences.