Un des postulat auquel adhère l’Université Populaire de Bordeaux est celui que la rencontre des savoirs chauds (issus de l’expérience) et des savoirs froids (issus des sciences) crée, non pas des savoirs tièdes mais de l’orage, c’est-à-dire du mouvement, du changement, du pouvoir d’agir. Comment cela se réalise-t-il et à quelles conditions, avec quelles limites ?