Cette deuxième séance examinera comment la croissance économique, c’est-à-dire une valeur ajoutée abondante, permet à l’État de partager les fruits de cette croissance sous l’égide de la doctrine keynésienne : les gains de productivité des Trente glorieuses ont permis de résoudre la contradiction salaire coût-salaire revenu, c’est-à-dire la contrainte de compétitivité vs la contrainte de débouchés, grâce à une inflation modérée et des dévaluations qui soutiennent le pouvoir d’achat des salariés.
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Vous trouverez ici le plan et le résumé de l’intervention.