Même en août, l’UPB s’active ! Rejoignez-nous le mercredi 9 à 15h pour lire “Petit éloge de la médiocrité” de Guillaume Meurice. Canapés, goûter, lecture et discussions au programme.
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Le livre
Chez Guillaume Meurice, la médiocrité, ça remonte à loin. Dès l’école, il considère 10/20 comme la note parfaite, le « juste ce qu’il faut » qui a la poésie et la fragilité d’une barre effleurée par un sauteur en hauteur.
Depuis, il s’est rendu compte qu’il n’y a rien de plus émancipateur que la médiocrité : elle permet de faire ce qui vous plaît, pour le simple plaisir de le faire, pour la beauté du geste. Elle est un refus de la hiérarchie et un pied-de-nez à la quête de la performance.
Avec ce Petit éloge de la médiocrité, Guillaume Meurice n’a jamais si bien maîtrisé son sujet.
Depuis, il s’est rendu compte qu’il n’y a rien de plus émancipateur que la médiocrité : elle permet de faire ce qui vous plaît, pour le simple plaisir de le faire, pour la beauté du geste. Elle est un refus de la hiérarchie et un pied-de-nez à la quête de la performance.
Avec ce Petit éloge de la médiocrité, Guillaume Meurice n’a jamais si bien maîtrisé son sujet.
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Un arpentage, quézako ?
Un arpentage, quézako ?
L’arpentage : faciliter la lecture par l’approche collective.
L’arpentage consiste à découvrir ensemble des ouvrages qu’on aurait du mal à lire seul-es ou que l’on préfère aborder de façon collective et collaborative.
ll s’agit de mettre en commun des connaissances, des idées et des intuitions, tout en faisant un lien avec un vécu et des expériences qui nous sont propres.
Il n’est pas nécessaire de connaître l’ouvrage avant de l’arpenter, il est même préférable de ne pas l’avoir lu !
L’arpentage consiste à découvrir ensemble des ouvrages qu’on aurait du mal à lire seul-es ou que l’on préfère aborder de façon collective et collaborative.
ll s’agit de mettre en commun des connaissances, des idées et des intuitions, tout en faisant un lien avec un vécu et des expériences qui nous sont propres.
Il n’est pas nécessaire de connaître l’ouvrage avant de l’arpenter, il est même préférable de ne pas l’avoir lu !
