Le jeudi 24 novembre, à la faculté de la victoire (l’amphithéâtre précis sera indiqué), à 19h, nous vous invitons à écouter et échanger avec Simon Gallo qui nous parlera de l’accueil des réfugié·es ukrainien·nes en France.
C’est gratuit et ouvert à toustes. Un temps d’échange est prévu après la présentation.
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La présentation revient sur la mise en place d’un dispositif d’urgence exceptionnel (fin février/début mars), les acteurs qui y ont été impliqués (associations, institutions d’État) et les relations qu’ils entretiennent. Elle donne par ailleurs à voir quelques parcours types de réfugiés, de l’Ukraine jusqu’à un hébergement plus ou moins pérenne. Elle est enfin l’occasion de discuter quelques enjeux propres à la diaspora ukrainienne en France et dans les pays occidentaux : la place de la langue russe dans les parcours d’exil, les confrontations parfois violentes aux “débats d’idées” en France, la concurrence avec les autres réfugiés et l’exportation du racisme présent dans une partie de la société ukrainienne.
C’est gratuit et ouvert à toustes. Un temps d’échange est prévu après la présentation.
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La présentation revient sur la mise en place d’un dispositif d’urgence exceptionnel (fin février/début mars), les acteurs qui y ont été impliqués (associations, institutions d’État) et les relations qu’ils entretiennent. Elle donne par ailleurs à voir quelques parcours types de réfugiés, de l’Ukraine jusqu’à un hébergement plus ou moins pérenne. Elle est enfin l’occasion de discuter quelques enjeux propres à la diaspora ukrainienne en France et dans les pays occidentaux : la place de la langue russe dans les parcours d’exil, les confrontations parfois violentes aux “débats d’idées” en France, la concurrence avec les autres réfugiés et l’exportation du racisme présent dans une partie de la société ukrainienne.
“Je m’appelle Simon Gallo, j’ai 25 ans, je suis médiateur social pour une association opératrice d’Etat sur le centre d’hébergement d’urgence des réfugiés ukrainiens à Paris. J’y ai été bénévole du début de la guerre jusqu’au 11 avril, puis salarié. Je suis russophone, pas ou peu ukrainophone. Avant cela, j’ai étudié deux ans à Moscou, je suis diplômé de l’IEP de Bordeaux en 2019 et je préparais l’agrégation de russe quand la guerre a été déclenchée.”
