Le jeudi 16 mai à 19h, l’Université Populaire de Bordeaux vous invite à écouter et échanger avec Pascal Tozzi.
Ça se passe en amphithéâtre Denucé, à la faculté de la Victoire.
Nos conférences sont ouvertes à toustes, pas besoin de s’inscrire ni d’adhérer. Ni de payer. Nous aimons toutefois rappeler que l’activité associative demande du temps, de l’énergie, et de l’argent : nous mettons à disposition une boîte “prix libre” à l’entrée de tous nos événements.
_____________________________
Pascal Tozzi nous fait l’honneur de venir le 16 et le 23 mai, pour deux conférences à propos de la non-violence.
Professeur à l’université de Bordeaux-Montaigne, habilité à diriger les recherches en science politique. Directeur adjoint d’une unité mixte du CNRS, il enseigne en Institut universitaire technologique au sein d’un département Carrières sociales.
Il a notamment publié deux ouvrages sur le sujet :
Plaidoyer pour la non-violence, publié chez Le Pommier :
Quand l’auteur m’a envoyé son manuscrit après les attentats de novembre 2015, je l’ai trouvé culotté. Et puis je l’ai lu, et j’ai compris. Compris qu’il était possible de ne pas se résigner passivement à la violence du monde, de la société ou de l’homme. Découvert que pratiquer la non-violence, ce n’était pas rester passif face à la violence, mais lui opposer une résistance implacable, au quotidien. Qu’être non-violent, ça se travaillait, au plus profond de soi, pour arriver à lutter, de tout son être, contre les entreprises de déshumanisation de tous les fauteurs de haine. Aujourd’hui, il y a urgence.
La non-violence face au terrorisme, publié chez Mayer Charles Leopold :
Une alternative pour rompre la spirale de la violence ? La non-violence reste pour beaucoup assimilée à un pacifisme béat, à une posture naïve, donc potentiellement dangereuse quand le terrorisme a déjà frappé. Pourtant, au regard de l’engrenage destructeur de la haine, il semble aujourd’hui crucial de considérer l’idée d’une réponse non-violente. Partant des événements récents, l’auteur propose d’analyser les racines du terrorisme actuel. Il interroge aussi les réactions sécuritaires ou guerrières que les États démocratiques opposent à cette menace, qui ne vont pas sans risques dès lors qu’elles déstabilisent durablement nos sociétés. Dans cette perspective, ce livre invite à ne pas tomber dans les pièges tendus par le terrorisme mais plutôt à reconquérir notre pouvoir d’agir contre la haine. Pour éviter la surenchère meurtrière, la non-violence est en mesure d’inspirer des réponses crédibles et responsables en contexte de crise et pourrait, à ce titre, faire partie des solutions face à la radicalisation et au terrorisme.
Plus d'infos
Le vendredi 17 mai, l’Université Populaire de Bordeaux accueille le conférencier gesticulant David Rafier !
Rendez-vous à 20h au 14, rue des douves (ce n’est PAS la Halle des douves, c’est au 14 de la rue des douves. Donc au numéro 14, et pas à la Halle des douves).
David est rémunéré au chapeau, la soirée est donc à prix libre et conscient. Pas besoin d’adhérer à l’UPB ni de s’inscrire pour venir.
Handicap et inclusion : ces deux mots font-ils toujours bon ménage ?
La société devient inclusive quand la considération des personnes en situation de handicap devient une obligation.
Cette conférence gestic’ukulélé est le cri d’indignation de David, aveugle, animateur musicien et chanteur.
Enfant mal-voyant et aveugle à partir de 14 ans, David vous présente son parcours de vie jalonné de chansons qui l’ont aidé à surmonter son handicap visuel.
Intégration, insertion, milieu protégé, inclusion : a-t-il eu vraiment le choix des armes ?
Plus d'infos
Le jeudi 23 mai à 19h, l’Université Populaire de Bordeaux vous invite à écouter et échanger avec Pascal Tozzi.
Ça se passe en amphithéâtre Denucé, à la faculté de la Victoire.
Nos conférences sont ouvertes à toustes, pas besoin de s’inscrire ni d’adhérer. Ni de payer. Nous aimons toutefois rappeler que l’activité associative demande du temps, de l’énergie, et de l’argent : nous mettons à disposition une boîte “prix libre” à l’entrée de tous nos événements.
_____________________________
Pascal Tozzi nous fait l’honneur de venir le 16 et le 23 mai, pour deux conférences à propos de la non-violence.
Professeur à l’université de Bordeaux-Montaigne, habilité à diriger les recherches en science politique. Directeur adjoint d’une unité mixte du CNRS, il enseigne en Institut universitaire technologique au sein d’un département Carrières sociales.
Il a notamment publié deux ouvrages sur le sujet :
Plaidoyer pour la non-violence, publié chez Le Pommier :
Quand l’auteur m’a envoyé son manuscrit après les attentats de novembre 2015, je l’ai trouvé culotté. Et puis je l’ai lu, et j’ai compris. Compris qu’il était possible de ne pas se résigner passivement à la violence du monde, de la société ou de l’homme. Découvert que pratiquer la non-violence, ce n’était pas rester passif face à la violence, mais lui opposer une résistance implacable, au quotidien. Qu’être non-violent, ça se travaillait, au plus profond de soi, pour arriver à lutter, de tout son être, contre les entreprises de déshumanisation de tous les fauteurs de haine. Aujourd’hui, il y a urgence.
La non-violence face au terrorisme, publié chez Mayer Charles Leopold :
Une alternative pour rompre la spirale de la violence ? La non-violence reste pour beaucoup assimilée à un pacifisme béat, à une posture naïve, donc potentiellement dangereuse quand le terrorisme a déjà frappé. Pourtant, au regard de l’engrenage destructeur de la haine, il semble aujourd’hui crucial de considérer l’idée d’une réponse non-violente. Partant des événements récents, l’auteur propose d’analyser les racines du terrorisme actuel. Il interroge aussi les réactions sécuritaires ou guerrières que les États démocratiques opposent à cette menace, qui ne vont pas sans risques dès lors qu’elles déstabilisent durablement nos sociétés. Dans cette perspective, ce livre invite à ne pas tomber dans les pièges tendus par le terrorisme mais plutôt à reconquérir notre pouvoir d’agir contre la haine. Pour éviter la surenchère meurtrière, la non-violence est en mesure d’inspirer des réponses crédibles et responsables en contexte de crise et pourrait, à ce titre, faire partie des solutions face à la radicalisation et au terrorisme.
Plus d'infos
EN GOGUETTE SIMONE — « Mieux vaut chanter faux et fort que bien et pas! »
Dès 19h au 14, rue des douves, le vendredi 24 Mai.
La buvette sera aussi de la partie 😉 (attention, on ne prend pas la carte bleue !)
**********************************
Une goguette c’est quoi ?
Tu prends une chanson connue…
T’enlèves les paroles…
Tu écris tes propres paroles…
Et tu la chantes !
A la Goguette on se retrouve donc autour d’une scène ouverte pour chanter ensemble et détourner sans vergogne des airs connus pour parler d’actualité internationale, nationale, locale ou intime. Pas besoin de chanter juste, ni bien, il suffit d’avoir quelque chose à dire et de le dire en chanson. Si désaccord il y a, on peut toujours répondre au goguettier… en chanson!
A vos crayons, à vos papiers, à vos coups de gueule, à vos coups de cœur : accourez à la goguette !
19h : atelier d’écriture et répétitions
20h30 : début des chants !
Plus d'infos
Le samedi 25 mai, l’Université Populaire de Bordeaux invite le conférencier gesticulant Bernard Brunet !
Rendez-vous à 15h30 à la Maison éco-citoyenne.
Cette conférence est présentée en partenariat avec les Bibliothèques de Bordeaux dans le cadre du festival La Fabrique du citoyen : https://bibliotheque.bordeaux.fr/agenda/les-evenements/la-fabrique-du-citoyen
Co-fondateur en 1989 de la coopérative Sapie, élu et militant du mouvement coopératif, consultant en développement local, Bernard Brunet découvre la notion de communs en 2009 à l’occasion de l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom.
Il n’a eu de cesse depuis, de travailler à faire connaître et partager cette approche différente de la propriété et de l’économie, qui lui semble constituer un formidable levier pour l’indispensable transition écologique et sociale de notre société.
En 2019 après avoir pris sa retraite, il crée sa conférence gesticulée “Tous propriétaires !” afin de toucher un public le plus large possible : voir la présentation vidéo.
Plus d'infos
Le mercredi 5 mai à 18h30, nous vous donnons rendez-vous à la Bibliothèque de Mériadeck, dans l’auditorium, pour une table-ronde avec Pascal Nicolas-Le Strat, l’association RéPLIC (les doctorant·es de l’Université de Bordeaux) et nous-mêmes.
Cette rencontre est organisée en partenariat avec les Bibliothèques de Bordeaux dans le cadre du festival La Fabrique du citoyen : https://bibliotheque.bordeaux.fr/agenda/les-evenements/la-fabrique-du-citoyen
Face à la gravité des épreuves démocratiques, écologiques et sociales, les pratiques de recherche en sciences sociales doivent elles aussi se réinventer. Cet enjeu n’est pas l’affaire des seuls universitaires, mais de toutes les personnes qui tentent des alternatives et se mobilisent contre les inégalités et les injustices.
Comment concevoir un « faire recherche » qui soit au rendez-vous des luttes et des mobilisations, qui contribue au développement des communs et qui renforce le pouvoir d’agir des collectifs concernés ?
Plus d'infos